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1- Le tombeau perdu d’Alexandre le Grand bientôt découvert ?
Charlemagne, Jules César, Cléopâtre et Alexandre le Grand, autant de personnages historiques qui peuplent les livres d’histoire des écoliers. Mais on ne sait toujours pas où se trouvent les tombeaux de la reine Égyptienne et du roi de Macédoine. La recherche de leur tombeau est digne des plus grandes séries Netflix. En novembre 2022, on apprenait que la sépulture de Cléopâtre pourrait se trouver au bout d’un tunnel secret découvert sur le site archéologique de Taposiris Magna à l’ouest d’Alexandrie.
L’annonce de la découverte se fait toujours attendre. Et c’est le tombeau d’Alexandre le Grand, mort en 323 av J.-C. qui pourrait être découvert avant. Lui aussi dans les environs d’Alexandrie.
Si vous avez oublié vos cours d’histoire, Alexandre a bâti de très nombreuses villes (toutes nommées Alexandrie d’ailleurs) pour affirmer sa domination sur les vastes territoires conquis. C’est ainsi qu’il fonde sa plus grande cité : Alexandrie d’Égypte en 331 avant notre ère. S’il meurt à Babylone en 323 av J.-C., son corps est momifié pour être transporté vers la Macédoine. Mais Ptolémée, général de l’empereur macédonien s’empare de la dépouille. Alexandre le Grand est vénéré comme un dieu en Égypte (comme dans de nombreux pays), et Ptolémée IV érige un mausolée le soma pour tombeau.
On ne sait toujours pas où situé cet extraordinaire monument. D’autant que l’on pense qu’il a été déplacé car Alexandrie va subir des tremblements de terre, des raz-de-marée et des guerres.
Et depuis 20 ans, l’archéologue grecque Calliope Limneos-Papakosta tente de retrouver ce tombeau. Elle pense être enfin parvenue au but de toute une vie. Geo.fr qui relaie cette probabilité raconte : « il y a quelques jours, elle a mis au jour d’abord une statue, puis une ancienne route romaine ainsi que des restes d’un édifice public. Celui-ci pourrait être le quartier royal où la dépouille d’Alexandre le Grand était exposée ».
Roi de Macédoine, Pharaon d’Égypte, Grand roi de Perse, Alexandre le Grand n’a pas fini d’alimenter les mythes et les rêves…
2- Les geckos se plaisent à Bordeaux
Il y a moins d’un an, nous vous parlions de l’observation citoyenne menée par Cistude Nature qui voulait recenser l’espèce de gecko dite Tarente de Maurétanie à Bordeaux et sa métropole. Leur appel à participation a porté ses fruits et c’est pas moins de 250 observations de ce gecko qui ont été réalisées. La Tarente aurait même pris favorablement ses quartiers sur la rive droite à Bordeaux-Bastide là où les observations ont été les plus nombreuses.
Elle serait arrivée au milieu des années 1990 puis cette espèce méditerranéenne aurait commencé à apprécier les lieux puisqu’elle s’y serait reproduit à partir des années 2000.
L’importation des oliviers où l’espèce pond ses œufs a pu permettre l’arrivée de ces geckos à Bordeaux. Mais ils ont besoin d’une certaine température pour pouvoir éclore. Le réchauffement climatique a donc donné un coup de main à cette implantation bordelaise.
Vous pouvez toujours participer à l’étude de Cistude Nature en vous rendant sur cette page.
Alexandre Marsat